Nouveau départ à wellington

Publié le par Alexis Jeannot

Wellington est une capitale aux multiples facettes et aux nombreux surnoms : "Welly Windy" pour son vent, où encore "Wellywood" pour son activité cinématographique, impulsé par le studio Wetta (les Wellingtoniens détestent ce surnom), et même « coolest little capital», donné par le Lonely Planet.

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Ce qui rend à mes yeux Wellington agréable à vivre se sont ses nombreuses rues piétonnes, trop rares en Nouvelle Zélande, et notamment à Auckland. Cuba street, la principale rue commercante, est libérée du dictat de l’automobile, tout comme le front de mer, site idéal pour les promenades matinales, où simplement flâner au grès des nombreux passants. L’activité artistique, avec les nombreux musiciens de rues et œuvres d’arts, habillent la brique et le bitume de douces ondes délicates et colorées. Les très nombreux cafés, bars et boites de nuits, rendent la ville vivante la journée et endiablée la nuit.

Après mes 11h de route à travers l’île du nord de la Nouvelle Zélande, j’étais enfin arrivé dans la ville qui allait être mon refuge lors des deux prochains mois.

A la sortie du bus, le premier quartier traversé fut le bisness district, qui est, comme ses nombreux confrères existant aux quatre bouts de la planète, impersonnel et oppressant. Mais il ne faut pas s’arrêter aux premières façades, et  aller de l’avant afin de ressentir le réel visage d'une citée,  qui, se dévoilant, permet d’apprécier pleinement un nouvel environnement.

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Malgré mon inactivité journalière, j’étais fatigué, et devais encore trouver une place dans un backpacker de la ville. La chance me sourit et je trouvai un lit libre lors de ma première tentative au Rosemarie hostel, dans le centre ville. C’est dans ce dernier que je fis la connaissance de Fabien et Karine, un couple originaire de la région parisienne avec qui j’ai sympathisé.

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wellington 002J’ai rapidement trouvé une collocation au quartier du Mount Victoria, dans une bâtisse en boit, perchée sur les hauteurs de ce fameux « Mount ». Nous avions un petit bout de terrain, où régnait une certaine anarchie floristique, mais j’étais heureux d’avoir de nouveau ma propre chambre, un vrai lit, et une salle de bain! Lorsque nous n’avons plus accès à tout ses services de premières commodités, un voile invisible, qui couvrait nos yeux disparait,  et nous prenons conscience de la chance qui nous est donnée de vivre accoudé à un certains confort. Après cela, chaque douche chaude, nuit sur le plus grossier des matelas, et repas chauds sont appréciés et savourés de façons plus justes et raisonnées. Payant seulement 125$NZ, soit environ 250€ par mois, le coût était relativement faible pour le quartier, et moins cher  que mes précédant appartements à Cayenne Chambéry et Clermont, qui sont pourtant des villes moins « huppées »... Je partageais l’appartement avec trois étudiants Kiwis, Mickael, Lucy et Bethanie, tous âgés d’une vingtaine d’année, et étudiants à l’université Victoria, ce qui me permit de m’imprégner de la culture du pays et de découvrir plus sur la Nouvelle Zélande.

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Publié dans Wellington

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M
<br /> 2 mois sans article: on déprime!!<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Et alors qu'est ce qui se passe Alexis? On attend la suite de tes aventures!!<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> dsl, c'est parceque je n'ai pas eu beaucoup de temps libre  pour ecrire sur mon blog, mais je vais bientôt publier de nouveaux articles!! <br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> encore une bonne aventure se prépare!! Par contre retire moi cet affreux poster dans ta chambre! @bientot l'ami! Have a good trip!<br /> <br /> <br />
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